DISCUSSION SUR UNE VILLE SÛRE ET APAISÉE

Liste des propositions et suggestions exprimés par les participants en répondant au questionnaire du BLOG

Renforcement de la sécurité publique en lien avec la gendarmerie. - Actions de prévention de la délinquance dès le plus jeune âge.
EJanique FEUVRIER
janiquefeuvrier@hotmail.com
Il me semble que la mise en place d'un service de caméras de surveillance serait dissuasif et permettrait si besoin d'apporter des preuves. Le non éclairage en ville est un problème récurent qui insécurise les personnes les plus vulnérables (femmes seules, personnes âgées...) La mise en place de détecteurs de mouvements comme il a été évoqué à la précédente réunion semble un excellent compromis entre écologie/économie et sécurité. De mon avis, la petite délinquance (détérioration des locaux sportifs et biens publics, déchets et excréments sur la voie...) ne doit pas être prise à la légère afin que chacun vive en sereinement au sein de la commune.
Manon VIAL
manon.vialborel@gmail.com
Comment parler de sécurité sans tomber dans un discours sécuritaire ? L’objectif ici est de proposer une solution ancrée dans la solidarité locale, la responsabilité partagée et l’entraide citoyenne À Tullins, comme ailleurs, la sécurité est une préoccupation légitime. Mais elle ne peut être pensée uniquement sous l’angle de la répression. Elle doit s’appuyer sur des valeurs de solidarité, de responsabilité partagée et de lien social. Les caméras peuvent parfois aider à résoudre des enquêtes ou à intervenir rapidement en cas de flagrant délit. Même quand la personne est dissimulée, certains éléments visuels peuvent s’avérer utiles. Pourtant, le coût d’un réseau public reste souvent prohibitif pour une commune comme la nôtre. C’est pourquoi, dans l’esprit d’un « Tullins pour tous, tous pour Tullins », nous pouvons proposer de : • soutenir l’installation volontaire de caméras chez les particuliers et les entreprises, via une subvention municipale, à condition que : • l’installation soit réalisée par une entreprise locale (comme Gozzi, par exemple) ; • les images puissent être transmises aux autorités en cas de besoin, dans le respect de la vie privée. Cette approche encourage une sécurité de proximité, coopérative et ancrée dans le tissu local. Mais au-delà de la technique, il y a l’humain. Nous pouvons également proposer de créer un réseau de citoyen·ne·s référent·e·s de quartier : des habitant·e·s volontaires, joignables facilement, qui peuvent relayer une alerte ou simplement créer du lien. L’idée n’est pas de faire des rondes ou de surveiller ses voisins, mais d’être un point de contact de confiance, capable d’écouter, d’orienter, et de maintenir un climat de sérénité dans nos quartiers. Des groupes de messagerie (WhatsApp, Signal…) pourraient compléter ce dispositif, pour faciliter la circulation de l’information locale en cas de besoin, toujours dans un cadre bienveillant et non intrusif. Parce que la sécurité ne doit pas nous diviser, mais nous rassembler autour d’un projet commun, fondé sur la confiance et la solidarité : A nous de bâtir ensemble une sécurité réellement démocratique, qui ne divise pas, mais qui rassemble.
Emmanulle LAMASSIAUDE
elamassiaude@icloud.com
Je vous fais remonter un échange que j’ai eu avec un professionnel de la gendarmerie : Il est important de mettre autour de la table l’ensemble des parties prenantes : Au delà de la gendarmerie, permettre un lien entre gendarmes, policiers, mais aussi CCAS et CMP etc etc etc est essentiel. Est ce que la mairie pourrait demain devenir un lieu d’échange de ces différentes instances pour permettre de libérer la parole et de coordonner les actions ?
Emmanulle LAMASSIAUDE
elamassiaude@icloud.com
Bonjour, je me permets de partager mon point de vu à la lecture d'un commentaire et ce sans polémique aucune, mettre les parties prenant en matière de sécurité et de ville apaisée, c'est une idée riche en terme de transversalité et de maillage territorial. Toutefois j'attire une attention particulière sur la nature des parties prenantes : il me semble que le CMP (centre médico - psychologique) en tant que partie prenant risque de faire polémique - stigmatiser les bénéficiaires. Par ailleurs il y a la question du secret professionnel. Attention donc : Vigilance +++ sur la question de l'amalgame qui peut rapidement glisser. Bien à vous
Maud AMOLINI
amolinimaud@gmail.com
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