DISCUSSION SUR UNE VILLE INCLUSIVE ET SOLIDAIRE

Liste des propositions et suggestions exprimés par les participants en répondant au questionnaire du BLOG

Le mot "Santé" doit apparaitre sous cette rubrique. Je propose UNE VILLE SOLIDAIRE ET EN BONNE SANTE SOLIDARITE : - Création d’une Maison des solidarités pour regrouper les services sociaux et certaines associations telles que Passiflore, Restos du Cœur…) avec une permanence pour les demandeurs d’emploi - Création d’un « café des aidants » pour soutenir les familles - Lutte contre la précarité énergétique : diagnostic gratuit pour les logements anciens, accompagnement aux aides à la rénovation SANTE : - Agir pour attirer de nouveaux médecins : Encourager les professionnels de santé déjà installés à accueillir des étudiants en médecine en stage afin de leur faire découvrir la commune et leur donner envie de s’y installer durablement. Prévoir des logements à loyers modérés pour les étudiants en médecine et les nouveaux médecins ENVIRONNEMENT ET SANTE : - Lutter contre les îlots de chaleur Végétalisation massive des espaces publics (cours d’école, places, parkings) pour créer de la fraîcheur urbaine. Création de zones d’ombrage (plantation d’arbres, pergolas végétalisées, toiles tendues...) dans les lieux de vie : arrêts de bus, abords des écoles, marchés. Toitures et façades végétalisées sur les nouveaux bâtiments publics et incitations pour les bâtiments privés.

Se rapprocher du CCAS afin de se rapprocher des familles en grande précarité sociale .Pourquoi pas l'installation de frigo solidaire , les personnes en grandes difficultés ne font pas forcement la démarche des colis alimentaires . Je me pose la question de la salle de la Cressonnière si elle est toujours en activité et qui est il proposé ?
Véronique ORRO
vero.orro38@icloud.com

Janique FEUVRIER
janiquefeuvrier@hotmail.com

Bonjour à tous,

Je suis tout à fait d'accord avec Janique, il manque un volet très spécifique et distinct santé avec l'extrême problématique du manque de médecins généralistes sur Tullins Fures et alentours. Mon médecin familial Pierre Andréani a pris sa retraite. Il avait 1500 patients... J'ai fait 3 médecins indépendants qui ont chacun bien 1700 patients sur Tullins Fures et 4 maisons médicales, celle de Tullins Fures, celle d'Izeaux, celle de Moirans, et celle de La Buisse. Refus total de prise de nouveaux patients m'a été dit ou mentionné. Les médecins généralistes m'ont tous dit que même moi en ALD (Affection longue durée), donc prioritaire qu'ils mettaient les patients sur liste d'attente et qu'ils attendaient soit des décès ou des déménagements de personnes pour en prendre d'autres. Donc pour moi et milliers d'autres nous n'avons pas de médecins attitrés alors s'que d'autres médecins généralistes vont bientôt prendre aussi leur retraite sous peu. Janique a raison un volet bien spécifique du sujet et à mettre bien en avant et non dilué dans notre programme de campagne (une 2 ème maison médicale ????)

Bien à vous tous et à vos familles.

Cordiales amitiés.

Patrice.

Prenant une place importante dans le dynamisme de notre ville, l'animation, le folklore, les traditions, et LA CULTURE. Un des pilier indispensable de la connaissance.
Je me permettrais de développer plus tard mes propositions sur le monde culturel et associatif et sur leurs représentations. Je vous propose de prendre le lead sur le sujet. Ma position au comité des fêtes rassemble plusieurs présidents d'associations comme le vieux Tullins, la musique, etc A votre convenance Guillaume Wagner
Guillaume Wagner
guiwag@ymail.com

Patrice MOUZ
patrice.mouz@hotmail.fr

Les retours de terrain des gendarmes sont clairs : leur métier a changé. S’ils ont été déchargés de certaines missions (comme le transfert de détenus), leur quotidien est aujourd’hui marqué par : • des procédures judiciaires toujours plus complexes ; • une recrudescence d’escroqueries, notamment envers les personnes vulnérables ; • une augmentation des signalements liés aux mineurs, parfois liés à des conflits familiaux ; • des demandes croissantes d’aide… qui relèvent parfois plus de l’assistance informatique que de la sécurité. Face à cette situation, la question se pose : la commune ne pourrait-elle pas jouer un rôle de coordination, afin d’alléger les forces de l’ordre et d’orienter les citoyens vers les bons interlocuteurs ? Un plan d’action local et réaliste pourrait être envisagé autour de cinq axes : 1. Recenser clairement les relais d’aide existants • Espace France Services : pour l’accompagnement administratif et numérique. • CCAS : pour les situations de précarité, d’isolement ou de fragilité sociale. • CMP : pour les troubles psychiques ou les détresses psychologiques qui ne relèvent pas d’un traitement sécuritaire. D’autres peuvent exister…. Recensons les :-) 2. Créer un dispositif de coordination locale • Une forme de guichet unique (physique ou numérique), ou une ligne de coordination, pour orienter les citoyens en fonction de leur besoin réel. • Un travail transversal entre mairie, gendarmerie, services sociaux, associations et structures de santé. D’autres idées ? 3. Renforcer le rôle du collège comme acteur de vigilance partagée • Travailler avec les équipes éducatives, les infirmiers scolaires et les assistantes sociales pour mieux identifier les situations de violence ou de mal-être. • Créer des passerelles avec le CCAS et le CMP pour assurer un suivi cohérent. Mais d’autres pistes peuvent exister… 4. Valoriser l’entraide citoyenne • Mettre en place des référents de quartier, visibles et formés, qui peuvent relayer les informations et créer du lien. • Encourager des groupes de solidarité locaux, capables de prévenir plutôt que de subir. Etc… 5. Redonner à la gendarmerie les moyens de se concentrer sur son cœur de métier • Moins de temps perdu à gérer des tâches qui ne relèvent pas de leurs compétences. • Une meilleure efficacité, au service de tous. La proposition faite ici n’est pas une révolution, mais une mise en synergie des forces déjà présentes sur notre territoire. Mieux s’organiser, mieux coopérer, mieux orienter. Pour que la sécurité ne soit pas qu’une affaire de répression, mais aussi une affaire de prévention, de construction collective, humaine et locale.
D’ici 2030, 1 salarié sur 4 sera aidant. Et pourtant, le terme « aidant » reste peu connu, peu reconnu, et surtout peu accompagné. L’âge moyen d’entrée dans l’aidance est de 39 ans. L’aidance désigne le soutien, souvent invisible, apporté par un proche à une personne en perte d’autonomie, malade ou en situation de handicap. Derrière ce chiffre, une réalité souvent ignorée : des millions de personnes accompagnent chaque jour un proche malade, en situation de handicap ou âgé, tout en menant de front une vie professionnelle, familiale et sociale. Ce rôle, essentiel mais peu reconnu, n’est pas sans conséquence. L’aidance a un impact direct sur la santé mentale : surcharge émotionnelle, stress chronique, épuisement, isolement… Autant de réalités vécues en silence par beaucoup, et encore trop peu prises en compte dans les politiques publiques. Dans un contexte où la santé mentale est une grande cause nationale, il est indispensable d’agir aussi à l’échelle locale. Ce que pourrait faire une commune comme Tullins À l’échelle locale, nous pourrions poser les premières pierres d’un réseau de soutien concret et humain pour les aidant·e·s : • Créer un espace d’information et d’orientation dédié à l’aidance, en lien avec le CCAS, les professionnels de santé mentale, les associations et les établissements médico-sociaux. Cela permettrait de rendre visible les aides existantes, mais aussi d’identifier plus tôt les situations à risque d’épuisement. • Sensibiliser les employeurs locaux (publics et privés) à la réalité de l’aidance : aménagement du temps de travail, droit au répit, écoute… Ce sont des gestes simples mais essentiels pour prévenir l’usure psychologique. • Mettre en place des groupes de parole, des temps de répit ou de ressourcement, en collaboration avec le CMP, les professionnels de santé mentale et les associations spécialisées : pour permettre aux aidant·e·s de souffler, d’échanger, de ne pas rester seuls. • Faire de l’aidance une priorité transversale dans les politiques municipales : accès facilité aux services, reconnaissance du statut, attention portée dans les démarches et les lieux d’accueil publics. Prendre soin de ceux qui prennent soin, c’est aussi prévenir la détresse psychique, briser l’isolement, et construire une commune plus solidaire et plus humaine.
Emmanuelle LAMASSIAUDE
elamassiaude@icloud.com
Emmanuelle LAMASSIAUDE
elamassiaude@icloud.com
Claude PAZZELLI
claude.pazzelli@gmail.com
Bonjour

Il est évident que ce thème doit être placé en tête de liste car la situation est très tendue et elle va encore empirer ...

Les patients du Dr Andreani ne seront pas repris car son cabinet n'es pas aux normes.

Sur notre commune, nous avons beaucoup de kinésithérapeutes et ostéopathes mais trop peu de médecins généralistes et dentistes.

Sachant que les communes voisines sont également dans la même problématique, une réflexion profonde du sujet est indispensable.

J'ajouterai également que ne pas mettre en avant ce sujet sur un programme électoral serait mal perçu par les électeurs.

Bonne journée à tous 🌞
Claude PAZZELLI

Bonjour à tous,

je pense qu’il faut ajouter à cette liste la thématique « santé ». Le manque de professionnels de santé inquiète les tullinois.

Une ville ou la santé reste une priorité : incitation à l’installation de professionnels de santé, un meilleur environnement pour une meilleure santé … entre autres..

Bonne soirée

Janique

Janique Feuvrier
janiquedeuvrier@hotmail.com
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TEXTE
En vrac quelques idées : Accessibilité PMR qui est une obligation pour les ERP, et qui devrait être un point de vigilance +++ dans la commune. Pour avoir dans les quelques dernières années avoir du pousser la poussette de ma fille, j'ai vu la difficulté pour les personnes à mobilité réduite => hauteur et largeur de trottoir, pavés descellés (avec la roulette qui se prend dedans) véhicules stationnés sur le trottoir (quid de la descente sur la chaussée pour une personne en fauteuil), ville avec une tendance à la pente qui peuvent rendre difficile les accès aux structures municipales. Je pense aussi à nos anciens qui sans être dans une situation de handicap se retrouvent parfois dans des difficultés de mobilisation (marches, sols à la nivélation aléatoires ..)
Maud AMOLINI
amolinimaud@gmail.com